Comme tout domaine émergent et mis en doute par le monde mainstream, l’industrie blockchain / crypto a besoin de figures de proue médiatiques. Retour sur certains des « Most influencial 2019 » mis en avant par nos confrères de Coindesk.
Le fameux @jack, fondateur de Twitter, membre du comité de direction de Disney et chairman de l’entreprise de paiement mobile électronique Square, est devenu l’un des plus grands défenseurs du Bitcoin dans son fief de la Silicon Valley cette année. Plutôt réfractaire aux projets portés par ses confrères (notamment celui de Facebook, Libra), il espère que le Bitcoin deviendra la monnaie officielle du web.
Comment un homme est-il passé d’inconnu total à entrepreneur et enfin candidat à l’investiture démocrate pour la prochaine élection présidentielle américaine ? On vous laissera vous renseigner plus en profondeur sur la vie d’Andrew Yang, qui est l’un des rares hommes ayant un gros lien avec la politique en faveur des crypto-monnaie. En cas d’élection, il prévoit même d’organiser une soirée à la Maison Blanche avec la communauté crypto.
Si l’une des problématiques les plus discutées reste le droit quand on discute blockchain et crypto-monnaie, la figure de Caitlin Long apparaît comme essentielle. Diplômée de droit à la fameuse Law School d’Harvard, elle a réussi à faire évoluer la loi dans son état (Wyoming) sur le sujet.
Cocorico, un français d’origine fait partie de ce top ! Il s’agit de David Marcus, l’un des cofondateurs de Libra, le projet crypto de Facebook qui a beaucoup fait parler avec une communication maîtrisée et surtout claire pour les néophytes. Mais les prochains mois seront décisifs pour Libra et pour David, avec tout le scepticisme des suiveurs de notre milieu sur la volonté de Facebook.
Attention, place à une rock star de la crypto. Meltem Demirors a su se faire apprécier pour ses prises de position, que ce soit dans ses témoignages auprès des autorités financières américaines ou lorsqu’elle a littéralement jeté des coins dans des toilettes lors de la Magical Crypto Convention.
Si certains se font tout petit lorsque les autorités officielles leur tapent sur les doigts, ce n’est pas le parti pris de Ted Livingston. Le fondateur du projet Kik (service de messagerie mobile) a choisi de se battre contre la SEC (l’organisme fédéral américain de réglementation et de contrôles des marchés financiers). La bataille judiciaire se base sur le fait que la SEC considère que le token de Kik est une valeur mobilière. Ted Livingston est prêt à aller jusqu’à la faillite de son entreprise pour faire progresser la cause des crypto-monnaies.